Pk 000.1 : Gare de Paris-Austerlitz (75)

Bonjour ,

                Re-remerciements à Laurent pour cette nouvelle série.

                En ce qui concerne les archets, oui, certainement Jean Philippe.
                Le passage en ces années là, sur des voies à l'équipement ancien, (notamment sur certaines voies de service au désaxement caténaires très important), pouvait laisser craindre quelques incidents... Si bien qu'avec cette adaptation, on gommait tous les soucis de cet ordre là.


                Quant aux 7200, (et 22200),  sur des trains V200, mon expérience se limite à un Limoges-Paris. (Corail qui arrivait vers 23h30 à Austerlitz), héritier du "Capitole".
                Quand bien même ces engins, pouvaient développer des puissances supérieures aux 4400 Kw "catalogue", (comme me l'avait confirmé une équipe "essais" d'une des voitures "électrotechnique"), au delà de 180 km/h, il semblerait que l'accélération soit nettement moins  rapide, qu'avec une 6500. 


                Petit point de "détail", ces machines habituellement considérées comme confortables, et assez peu bruyantes, émettaient à 200 km/h un niveau sonore tout à fait inhabituel, pour un utilisateur limité 160 km/h. Idem, en ce qui concernait la stabilité mise à rude épreuve par des mouvements parasites nettement accentués par l'effet vitesse.
                Ces constatations, tout à fait normales, pouvaient d'ailleurs s'appliquer aux 6500.


                A bientôt !

Bonjour Laurent, bonjour à tous,

Je me fais rare sur le forum, mais je me régale en voyant tes photos. Superbes. La période 1985-1990 était la plus riche en diversité ferroviaire.

J'attends d'autres photos !

Amicalement,

Bonjour,

Pour changer, un peu de thermique. La gare d'Austerlitz était origine des trains vers Tours via Vendôme (était car la relation n'existe plus).

En 1985, les EAD règnent en maître
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De janvier 86 à avril 86, arrivent les X-2205 à 13 neufs qui vont chasser progressivement les EAD, en d'améliorant et le confort, et les horaires, les 2200 pouvant rouler à 140 contre 120.

En octobre 86, on pouvait voir les deux types d'engin

Le 2213 au départ vers Tours
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Une UM3 arrivant à Paris... (les joies de l'absence de passage souterrain à Austerlitz)
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Aux X-2200 étaient attelées des remorques XR-6100. On en voit une manœuvrée par une BB Midi, un soir d'aout 87.

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Elle était arrivée derrière le X-2250, le seul de la série aux faces Inox. Il a rejoint la ligne en juin 87
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Bonjour Laurent,

Encore de superbes photos ! Avec mon autorail préféré !

Paris - Vendôme existe toujours en X 72500 non ?

Amicalement,

Que de souvenirs!

Effectivement pour le Montaigne que je faisais avec parfois la 22200 tout comme les autres V 200 avec les 3 BB 7200 V 200 qui sont à present reformées...
Ah les EAD sur PAZ - Tours. Parfois les jours FAC on m'envoyait faire un AR PAZ Chateaudun ou Vendome; puis arrivèrent les X 2200...

Peut être ai-je croisé L Radice à PAZ?

J'ai vu des XTER sur le "TGV de la Beauce" (PAZ - Tours via Vendome)...

@Olimac : Y a plus de relation de bout en bout depuis un ou deux ans me semble-t-il. Elles sont limitées à Chateaudun ou Vendôme. Et sont bien assurées en X-72500, depuis 2000

@Montplaisir : Possible. J'y passais régulièrement à l'heure du déjeuner. Si tu as des souvenirs d'un "grand (1,90 m) petit jeune"


A l'origine, les faces frontales des X-2200 étaient noires. Par manque de visibilité, elles ont été repeintes en rouge à partir de janvier 88.

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La série a adopté progressivement la livrée bleue de la Région Centre, à partir de janvier 89. Ici, un bleu avec une XR rouge et un X rouge

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Sur cette image de septembre 90, les trains sont uniformément bleu
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Pour finir, une UM2 d'EAD en septembre 89, époque où ce matériel se faisait rare

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Laurent

Ce sujet est une véritable pépite !

Au temps pour moi pour l'erreur Laurent, merci pour ta précision.

Pour Laurent.
J'en voyais pas mal prendre des photos...

Merci pour ces photos car y étant tous les jours pour le boulot sur le quai et dans les trains, pas trop le temps d'en prendre...

S'il existe une personne qui fait la même chose que Laurent pour Bordeaux, car pareil, je passais tous les jours pour le lycée/boulot, et évidemment jamais pris de photos !

Quelques trains de machines (en admettant que deux machines forment un train)

Avril 85 - BB-9200 Oullins côté province, CC-6500 côté Paris.
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Juillet 86 - BB-9251 verte origine côté province, BB-9235 béton côté Paris. La 51 a la traverse de tête renforcée, une disposition qui n'a pas été généralisé (application sur les 18, 48, 51, 58, 64, 68, 69 et 89 lors de leur passage en RG+ dans les années 70), au contraire des 16000. La 35 est l'une des premières bétonnisées en 84
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Octobre 86 - CC-6515 et BB-7200 (si quelqu'un dispose des photos des blasons des 7200, elle pourrait être identifiée)
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Avril 87 : BB-9205 en livrée Oullins, BB-9300 en livrée d'origine, BB-9200 en livrée Oullins et BB-7200 ou 22200
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Décembre 87 : BB-9300 en livrée d'origine, BB-9275 Oullins
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Pour finir, deux gros trains

Décembre 87 : BB-8500/25500 verte origine, BB-9200 verte Oullins, BB-25207, BB-8527 béton, BB-9329 en livrée d'origine, BB-322, BB-4747, BB-9203 Oullins
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4 septembre 10 : BB-26001 En Voyage, BB-7317 béton, BB-9243 béton, BB-8632 Fret, BB-26034 Arzens, BB-7208 fantôme propre, BB-9284 multi-service, BB-26024 Arzens
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Bonne journée

Laurent

Bonjour à tous et salut chef  

MOLY a écrit:Dis moi, Olimac, je l'ai peut-être connu, ou croisé, ton paternel ? Dans les quelques années, où j' étais "opérationnel" sur ces trains, un bordelais montait le 4020 à Poitiers, puis repartait en 1/2 tour sur sa résidence, presqu'aussitôt sur un train de nuit descendant. (4819, ?, peut être).

Le 4020 c'était le BPJ (ancien "code statistique") ? Si oui, les bordelais, on le faisait au 161 P de Bordeaux à Poitiers puis retour à Bordeaux avec le 307. C'était 6500 de PSO à l'aller et au retour  
@+
André

Sur le postal, tu avais aussi de bout en bout, de BX à PAZ. Après, savoir si c'était chose courante ou bien exceptionnel, c'est une autre histoire. Il faudrait que je regarde dans les carnets...

Bonjour,

Alors que beaucoup de photos de ce sujet ont disparu (faute de financement pour héberger en autonomie les données du forum), voici une photo de la gare. Ça a bien changé depuis !
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Bonsoir,

Merci olimac de cette vue historique de Paris-Austerlitz. On a du mal à imaginer...

Petit flash-back quant à la remorque des trains entre Bordeaux et Paris, à l'époque du père d'Olimac :

Le 4020 entrait en gare de Tours, et se prêtait assez mal au "bout en bout", mais pas impossible qu'à une période, ou à une autre, il en fut autrement.

Jusqu'aux années 80, (lesquelles exactement, je ne sais pas), les conducteurs Bordelais montaient bien à Paris, mais ils sautaient d'un train à un autre, lors d'un arrêt, avec ou sans coupure, assez souvent à Poitiers d'ailleurs.

Sur les trains sans arret, évidemment la montée était directe, mais nécessitait la présence de deux agents qui changeaient à Dangé.

Je me souviens aussi, que, autour des années 78, un Bordelais prenait son repos aux Aubrais, mais je ne me rappelle pas précisemment de la tournée...un train-auto peut être.... André30, si tu as meilleure mémoire que moi...et, en plus tu es mieux placé pour en parler..

Quelques années plus tard, les tournées bout en bout à agent seul entre Bordeaux et Paris furent la règle, puis vinrent les demis-tours en TGV...

A bientôt!

Bonsoir Moly,

Tu connaissais le père d'Olimac ?

MOLY a écrit:Je me souviens aussi, que, autour des années 78, un Bordelais prenait son repos aux Aubrais, mais je ne me rappelle pas précisemment de la tournée...un train-auto peut être.... André30, si tu as meilleure mémoire que moi...et, en plus tu es mieux placé pour en parler..

Michel  => BX 4040 PAZ + K + 4051 LAB - RHR - 50141 BBD + HLP BX (journée 110/120 du 161)  
La tournée n'a pas duré longtemps vu l'amplitude de la 110.

tien j'ai zappé ma gare d'affectation

quelque photo de la migration vers une gare sous dalle

photo de la petite nef:
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site désormais sous la dalle

train moderne au départ de paz
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on dépose !!
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une vapeur à paz !!!!!

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photo du passé pas si lointain !!
une bb9200 en attente du départ
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Olimac a écrit:Le 4020/4021 était très familier de mon paternel dans les années 80 sur le parcours BX-TSP ! Marche très tendue ! Ça devait être toute une époque et une ambiance !

Bonjour Olimac, bonjour à tous,

En réponse, Olimac, ton "paternel", j'"aurais" pu le connaitre, et l'ai certainement croisé ici ou là.... mais  Bordeaux était le dépôt qui, à ma connaissance, avait les effectifs les plus importants du sud-ouest.
Identifier tout le monde pour un Bordelais n'était déjà pas si facile...pour les autres....? !

Mais, effectivement, je m'étais vu plus jeune, ou le père d'Olimac plus agé....

Ceci étant dit, c'est vrai que les échanges de souvenirs relatifs à des roulements agents et engins peut facilement introduire des divergences, tant, parfois à quelques mois près, ce qui était vrai pour l'un, ne l'était plus pour l'autre.

Bref, cela ne me rejeunit pas....

Merci en tout cas pour les vues et les actualités d'Austerlitz.

A bientôt !

PAZ qui fut ma gare des années 80 a bien changé... Elle y a perdu un peu de son ame.
Dans les années 80 un projet prévoyait une traversée de la halle par un "boulevard urbain" en prolongement du pont sur la Seine... Là, où on était logé ça devait être rasé aussi. Le "fameux" bâtiment (foyer roulant + ECT) sur pilotis dans la cour des arrivées. A coté des dernières voies coté Salpetrière en bout, coté quai central, il y avait un batiment avec un escalier en fer pour y accéder; c'etait la commande des contrôleurs dans les années 70...

....Encore un souvenir que me rappelle monplaisir, des années 1978/79 : la première fois où j'avais couché au foyer d'Austerlitz.

....Ce soir là, j'avais monté une rame 310 "retardée", (de 17 ou 18 voitures avec une 8500 !), de Poitiers à Paris. Il s'agissait du train qui avait attendu à Hendaye la correspondance Ibérique.
Un train dans l'horaire avait été formé à la hâte, dans le sillon théorique.

Excusez du peu, mais au lieu d'arriver dans la capitale vers 19h, nous avions touché au but vers 1h30 du matin ! ! (approximativement).

Au lieu de rentrer l'engin au dépôt comme c'était la règle pratiquement absolue à l'époque, les exceptions étant très rares, j'avais laissé "tout" en stationnement, (comme on peut l'observer aujourd'hui), et avais pris le repos "au dessus des pilotis", tout près du pont du métro.

Ce foyer était blindé, et j'avais dû "forcer" encore une ou deux fois l'entrée par la suite, pour bénéficier des repos mieux placés pour un retour "en voyageur", et surtout plus pratiques qu'à Ivry.

A bientôt !

Waouh le carton les fotos avec en prime dame 407 !