Toulouse-dépôt de Périole, images du passé, des origines à 1990

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la saga continue , en voila d'autres de périole dont celle-ci pour JL allez hop au charbon .

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Plus rare par chez nous cette BB 332 ( rien a voir avec la livrée de la dernière JPO   )
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Puis ce Diesel TTX  de chez D&G .
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JB@+

Merci JB, super la TD au dépôt.

Bonsoir,

Merci infiniment de vos photos qui ont su faire renaitre quelques souvenirs de ces époques là chez les anciens.

Sans trop personnaliser les commentaires sur ce forum public, j'ai reconnu, comme Raymond et certains autres contributeurs certainement, le "prince noir", près de la 141 TD. Il n'était jamais bien loin lorsque de la fumée de charbon s'échappait du dépôt.
Bien que nous ayions toujours conservé de très bonnes relations, lui et moi, je regrette aujourd'hui de ne pas avoir suscité davantage ses connaissances historiques de la traction Toulousaine, tant il avait l'air d'en connaitre un "rayon".

Autre souvenir que m'inspirent quelques vues des engins, classés selon une stratégie qui ne devait rien au hasard, celui notamment de cette 6525, encore plaquée "Capitole", placée en embuscade sur "la somua", devant la Z 4172.
Selon toute vraisemblance, arrivée au 75, elle repartait au 76. Ainsi "cachée", elle permettait de laisser la voie 12, (seule voie équipée pour tester la signalisation de préannonce), opérationnelle l'après midi.
Les surveillants de dépôt, après avoir changé la plaque de coté, la montait à son tour pour la sortie, suivie par la Z 4100 qui partait le plus souvent au "29" (7829), pour Foix.
Sans que ce soit une obligation, il y avait des rituels comme ça...!

Encore "plus historiques", ces 300 dont les vitres latérales, (et frontales), étaient cerclées de rouge, comme le furent la plupart des machines exPO, (je crois).

Enfin, et pour ne pas trop m'étendre, je finirai par la présence très discrète, en ces années là, des 8500 des Aubrais. Les 8600 n'avaient pas encore ouvert largement la voie à une utilisation "universelle" de la série en Midi-Pyrénées.

Dans les années 70, en moyenne, on dénombrait une quarantaine d'entrées/sorties de machines électriques par période de 8 heures, (pour donner une idée, car quelques variations saisonnières pouvaient faire fluctuer les chiffres), avec un avantage relativement léger coté électrique. (Ce qui porte à plus de 200 entrées et 200 sorties d'engins en 24 heures, tous modes de traction confondus. (Ne pas oublier les locotracteurs et autres engins exotiques, que les exploitants venaient parfois rentrer ou sortir eux mêmes).

Je n'évoque même pas les fourgons chaudière (des trains de pèlerins électriques), qui exigeaient des manoeuvres incessantes certaines journées de fort pèlerinage. L'occasion de tirer un coup de chapeau aux amis de la "voie 13", qui, de façon très obscure, assuraient le tri, l'entretien et les approvisionnements en combustible, (coté diesel ! !), en sable et en bandes graphiques de tous ces engins.

Comme on dit..."Que de souvenirs !"..... (en espérant que ma mémoire ne m'ait pas trahit). A bientôt !

Moly, comme d'habitude un grand plaisir de lire tes messages, qui illustrent superbement nos photos.
Le "prince noir" je découvre le nom bien que je le connaisse certainement.

Et pour illustrer les 8500 que tu évoques voici une (mauvaise) photo de la tête de série en 1970, sauf erreur.

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La 8572 au milieu de machines plus anciennes.

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8572 à nouveau

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8567 au tiroir

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...Merci Tosque de ces nouvelles photos.

Nous avions déjà sur ce forum, (avec Raymond), évoqué "le prince noir", qui était un de ces conducteurs "cheminots", aussi bien mû par une grande conscience professionnelle, que par sa passion du métier. A l'époque, (1971), il roulait comme titulaire au roulement 161 électrique, "Rapides et Express".

J'en profite pour rétablir un oubli, celui du poste de graisseur, toujours "à la voie 13", (local devant lequel stationnaient et étaient prises en charge les machines à la rentrée), qui, coté électrique, montait les bidons d'huile dans les couloirs des 2D2 5500 pour alimenter les six "tabatières" dans chaque couloir.

Certains conducteurs bien "sapés", gueulaient lorsque des flaques d'huile jonchaient le sol. A juste titre si les pertes étaient trop importantes. Des pelotes d'étoupe blanches trainaient quelquefois dans les 5500, pour parer à ces inconvénients.

A bientôt !

Merci pour ces souvenirs toujours intéressants Moly!   De la graisse, de la fumée, il n'y a guère de tout cela dans les trains d'aujourd'hui!

Les couloirs des 5500 étaient une vraie patinoire    .Comme JL merci de ces notes du dépôt Toulousain , quand je le vois de nos jours....

On le retrouve au manche de cette Z 7112 en route pour l'Ariége notre grand ami commun qui se déplaçait a vélo ,Un grand de la maison souvent présent aux diverses manifestations, il était venu accueillir la 241 P 9 impressionné par la taille des roues.
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Il y avait une belle diversité de belles machines de l'époque .
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Dont celles-ci les dernières nées de la saga 2D2 , la première de la série venant d'arriver sur le grill.
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jb@+

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