Lyon-Toulouse par St-Sulpice

Le X 2903 et une XR 6000 assurent le train 6995/4 Lyon-Toulouse ce 12 juillet 1988.
PN n° 68 à l'entrée de TOULOUSE. Noter la maisonnette aujourd'hui rasée.

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Pour ceux qui ne connaissent pas le coin, PN du Chemin de Nicol.
Désolé François mais je n'ai pas ce numéro, j'ai 5494/95 (Lyon Perrache 09h10 - Toulouse 19h52).
raymond.

Salut Ray

Le n° est celui écrit sur mon cahier à l'époque.
C'est curieux que j'aie pu faire une erreur pareille mais bon ...

Merci. A+
SF

Il y a eu une renumérotation des trains...

Soifran regrette le RHR Langogne?

Salut à tous.
J'ai emprunté ce train le vendredi 19 aout 1988 de Toulouse à St Etienne ( pour aller photographier les PCC stéphanois).
Je relève dans mes notes:
train 6494/5 Toulouse-Matabiau - Lyon-Perrache: X 2833 déco MP et XR 6066 déco MP.
A La Bastide St Laurent les Bains, croisement du train 6995/4 Lyon-Perrache - Toulouse-Matabiau: X 2853 et XR 6059.
J'ai encore le chaix dans un carton ... mais quel carton ????
LN/JCP.

Salut Soifran, salut à tous,

Belle photo... ! Excellents ces X2800 !
Je ne savais pas qu'il existait des parcours TER aussi longs... que ce devait être... ! Plus de dix heures dans un X2800, toute une journée de Juillet... ça devait être... chaud !
Le Toulouse - Clermont et ses six heures de voyage, ce n'était, devant ce Lyon - Toulouse, pas grand chose... !
Dommage que ce train (qui aurait pu être, vu son parcours, un Corail) ai été supprimé... ça m'aurait bien plu de faire le périple....
en hiver !!
Les X2800 me manquent... Merci Soifran pour la photo ! Encore une fois, c'est de superbes documents ! Bravo !

Bonne soirée, @+

Bonsoir Julien et à tous.
Cette relation n'était pas classée TER mais Express (avec réservation possible), et ne circulait que pendant le plein été (juillet et aout). En 1982 ou 3, j'ai fait le parcours intégral au départ de Lyon. Aux gares de rebroussement, des clients descendaient sur le quai pour se dégourdir et prendre l'air....
raymond.

1982/83 = LOCORAMA les samedis et dimanches...

Le TL / LT = 4994/5 / 5494/5 = 6494/5 / 6994/5 = Express. Il a debuté en 1952 en ADX² pour crever fin aout 1988 en X 2800... dans le CHAIX il était au tableau T14

Bonjour Eaymond, bonjour à tous.

cassaigneray a écrit:
Aux gares de rebroussement, des clients descendaient sur le quai pour se dégourdir et prendre l'air....
raymond.

Effectivement, c'était folklorique.
Le train marquait un arrêt de 20 minutes à Langogne, alors qu'aucun train de croisait...
Par contre, à Chapeauroux, il croisait le "Cevenol", train 5957/6 Paris-Gare de Lyon 08h43 - Nîmes 17h40.
Un train de rêve pour les photographes
LN/JCP.

Montplaisir a écrit:1982/83 = LOCORAMA les samedis et dimanches...

Le TL / LT = 4994/5 / 5494/5 = 6494/5 / 6994/5 = Express. Il a debuté en 1952 en ADX² pour crever fin aout 1988 en X 2800... dans le CHAIX il était au tableau T14

Oui c'est cela Montvoisin idem pour le chaix de 1966 donc 609 Klm en 11h 16'' ,(LT 9h12----20h28)(TL 8h28----19h47) il donnait correspondance a Lyon pour Grenoble ou Geneve, soit D Geneve 6h18/D Grenoble 6h15---> Lyon) ou ( Lyon---> Grenoble A 23H21 / Geneve A 23H10 . Ca c'etait du voyage

Dire que mes beaux parents ont fait la dernière saison en 1988 Lyon - Marssac s/ Tarn sans changement, mais pas de photos...

cassaigneray a écrit:Bonsoir Julien et à tous.
Cette relation n'était pas classée TER mais Express (avec réservation possible), et ne circulait que pendant le plein été (juillet et aout). En 1982 ou 3, j'ai fait le parcours intégral au départ de Lyon. Aux gares de rebroussement, des clients descendaient sur le quai pour se dégourdir et prendre l'air....
raymond.

Salut Raymond, salut à tous,
Dis donc, faire un parcours intégral qui dure plus de dix heures, ça devait être quelque chose.... !!
Dans un X2800 et par la canifle d'Aout, ça devait être... extrême ! Enfin, je suppose.
Comme à dit JB, c'était du voyage... !! Du train, du vrai !!
Dommage que ça n'existe plus... :,o(:
Merci pour l'anecdote et la rectification par rapport à la classification du train.
(ayant vu un matériel TER, j'ai pensé à une relation TER, comme pour, par exemple, l'A/R Clermont - TE aujourd'hui).

Le train, c'est décidément magique... !

@+

En 1979 j'ai fait avec le TL Tesso - Labastide St Laurent..., le tout en cabine!

Toulouse-Lyon au temps des Rouges-Crèmes
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Entre St Sul et Gaillac?

:20-20:

Ca tenait comment la voie à ces vitesses ces remorques? Question peu souvent posée... :siffle:

Montplaisir a écrit: Entre St Sul et Gaillac?

Entre Gaillac et Tessonnières!

Pour les remorques VL = 120 Km/h; ça roulait bien...

Montplaisir a écrit:Pour les remorques VL = 120 Km/h; ça roulait bien...

oui ca roulait bien ces remorques elles avaient une tare de 17t,5 environ .

jb@+

Bonjour à tous,

En complément de ce qui a été écrit plus haut, au sujet de la durée et du confort des trains par le passé, je pense qu'il est nécessaire de replacer les évènements dans le contexte de l'époque, et même, des régions traversées.
Dans ce TL/LT, peu,(pas) d'hommes d'affaires, et j'imagine, assez peu de clientèle de bout en bout. (Je ne l'ai pris qu'une seule fois, en 1986,pour me rendre à Mâcon, le voyage,pittoresque, était magnifique).

Encore une fois, je ne peux résister à vous faire partager une anecdote familiale, mais caractéristique de ce type de trains sur ces lignes du Massif central.

En 1959,si mes souvenirs sont exacts, mes grands parents durent quitter leur ferme aveyronnaise pour se rendre à des obsèques dans la Drôme. Billets achetés d'Aubin,(près de Decazeville) à St Vallier (au nord de Valence) avec changements à Rodez et Lyon.

Déjà assez âgés à l'époque, ils eurent très chaud et déplorèrent un changement intempestif, (la remorque dans laquelle ils avaient pris place fut coupée en cours de route,mais je ne me souviens plus à quel endroit, n'étant pas du voyage). Là où réside tout le "sel" de l'histoire, c'est au moment où serviettes déployées, victuailles amplement étalées,vin déjà entamé, (nos anciens Aveyronnais sachant si bien rendre hommage à leurs produits du terroir), qu'un contrôleur est venu leur demander de passer dans la voiture précédente! Evidemment, il fallait faire vite, et l'anecdote amplement commentée,entre panique et catastrophe, mis à contribution quelques voyageurs bienveillants... Vous imaginez le tableau! Bref, au final,je ne pense pas qu'au delà de quelques jurons en patois de mon grand-père, personne n'en ait eu l'appétit coupé.

Voilà,c'était un peu l'ambiance de ces autorails au long cours, mais ces gens, qui vivaient difficilement, acceptaient mieux les contraintes, que les voyageurs d'aujourd'hui, si j' en juge par les pluies d'insultes,(au mieux), que reçoivent notamment, et par exemple non limitatif, les agents de la gare de Brive, lorsqu'une correspondance vers Rodez est décalée ou assurée en car . Comme c'est assez fréquent, et chaque fois la même chose, je me dis qu'ils ont un métier difficile.
A bientôt !

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Et un TL de plus qui tractait ce jour là une voiture qu'il laissera à Carmaux pour le Parisien.

La j'apprends car je croyais qu'on ne pouvait pas intercaler une remorque.

intermodalite a écrit:La j'apprends car je croyais qu'on ne pouvait pas intercaler une remorque.

Pour le freinage a priori cela ne doit pas poser de problème. Par ailleurs pendant des années ( il me faut vérifier les dates ), le Parisien ( à l'époque 1026/1027 puis 4416/4417) était tracé Paris Aust - Toulouse avec une voiture directe Paris Albi décrochée à Tessonnières et reprise en remorque par un 2800 jusqu'à son terminus!

intermodalite a écrit:La j'apprends car je croyais qu'on ne pouvait pas intercaler une remorque.

je dois avoir le même genre de photos avec un couvert!!