Les Picasso de l'ABFC en Auvergne, Pyrénées et Languedoc-Roussillon.

Salut , les deux autorails assurent ils leur propre traction ou un qui pousse ou l'autre qui tire ??

Bien belles photos <3 

steph 12 a écrit:Salut , les deux autorails assurent ils leur propre traction ou un qui pousse ou l'autre qui tire ??

Bien belles photos <3 

les deux autorails sont en jumelage et assurent chacun leur traction

jb@+

Merci , mais alors comment cela se passe , pour la coordination entre les deux chauffeurs ??

C'est une opération classique depuis bien longtemps, du temps de la vapeur on trouvait deux machines en tête et parfois une en pousse, je pense à la grande ceinture ouest par exemple.
Avec les diesels idem quand il ne pouvaient pas être utilisés en UM (unités multiples) par exemple 67000 et 66000), je me rappelle de beaux trains sur la ligne des Alpes (Grenoble Veynes) avec trois machines en tête du parisien lors des détournements pour le remplacement du viaduc de Claps (ligne Livron Veynes).
Le cas se produit avec des électriques et des autorails avec des compositions des plus hétéroclites avec trois engins moteurs séparées par des remorques.
Avant l'existence des liaisons radio, ce qui n'est pas si vieux que cela la réglementation prévoyait tout cela avec les signaux acoustiques et des consignes adaptées.
Si on remonte dans le temps quand il y avait des serres freins sur les wagons de marchandise c'était les signaux acoustiques qui étaient utilisés pour serrer er desserrer les freins.
Claude

La suite :

Déja vue un peu plus haut mais le coin le vaut bien :
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En route pour Quillan :
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Aprés une nuit à Toulouse on monte à Luchon :
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La poursuite se sera terminé à Luchon pour moi.

A+.
Vincent.

  bien belles fotos même si j'apprécie particulièrement celle sur dc et caténaires midi et montagne en arrière plan