Pk 133,3 : Gare de Merens les Vals (09)

Il y a eu que 4 trains qui sont arrivés à Latour:
- le mien avec 53mn de retard...
- le 14h49 au départ de Toulouse
- le 16h49
- et le 18h49

Le train du jaune "Ricard Express" limité à Ax aux grand desespoir des soifards et revendeurs sous le manteau munis de la carte "midi Pyrénées emploi" qui vont quotidiennement au Pas de la Case gratis!

Montplaisir a écrit:

Camilo a écrit:

Montplaisir a écrit:Il semblerait qu'il s'agisse du Transariègeois. On est en hiver et il fait jour. Le Parisien, il fait nuit...

Les trois premières voitures ne me semblent pas française...

...et pour cause: Belges --> relation Cherbec ( phonétique!! :dehors: ) Latour...

Bonsoir à tous,

ce sont des I5 ou I10 bleu ligne rose SNCB...
Salutations amicales.
Laurent.

21/12 2013

Bonsoir à tous.

Quelques clichés pris cet aprés midi.

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Merci pour ces photos!   

Nil

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.....bon moment .

A bientot.
P.

Ca te change de MZT (Ma Zamet) !   

Certes Monplaisir,certes.....
Elle est belle cette ligne;quand j'allais skier au Monts d'Olmes petit,j'avais le nez coller à la vitre du bus jusqu'aux oeufs pour "le Saquet",dans les années 74/78,y'en avait des belles choses à Ax les Thermes.
P.

Bonjour à tous, bonjour Patrick!

MERCI pour ces photos!!! SUPERBE!  
Salutations amicales.
Laurent.

magnifique reportage

....
    oui, joli ! Merci de ces photos superbes.
    Toujours mes vieux souvenirs qui rappelleront à certains qu'en ces lieux où glissent aujourd'hui ces puissantes automotrices, il y eu de valeureuses BB 4100.

    L'ancien chef-traction Lathière, déjà cité dans ce forum, dont personne n'aurait eu l'idée de remettre en cause la rigueur, et le sens de la sécurité, nous faisaient tirer sur les aiguilles de sortie, au delà des vitesses limites, afin, les jours de fortes chutes de neige, (lorsque le chasse neige n'était pas encore passé), d'attaquer les rampes de 40 mm/m, dans les conditions les meilleures.

    En effet, parfois, pour nous, les plus jeunes, sa présence pouvait calmer nos ardeurs, mais je crois que l'accumulation de la neige sous les bogies, pouvait créer une sorte de délestage des essieux avant, et provoquer des patinages, dont l'issue, était vite sanctionnée : l'arrêt pur et simple.

   Une fois l'élan pris, ça montait !
   Il le savait, et ne voulait pas se trouver dans une situation "penaude", où son train aurait demandé le secours !

   En fait, lorsque il arrivait qu'un train "plante" à la sortie, il était sollicité une autorisation de retour à la gare en arrière, suivie d'une nouvelle tentative, laquelle, l'expérience aidant, s'avérait déterminante.

 A bientôt !

Merci superbes photos d'ambiance

Incident TER en Ariège: Dérive le 18/12/2013

... "je vous informe que le directeur des Transports de la Région Midi-Pyrénées a été informé de cette dérive d’un AGC (Bombardier) le 18 décembre dernier au niveau de Mérens les Vals, par le Directeur du TER Midi-Pyrénées.
Cet incident serait dû, selon la SNCF, a un phénomène d’amalgame sur le rail lié à la chute massive de feuilles associée à d’importantes chutes de neige. Cet amalgame aurait graissé le rail et conduit à cette dérive.
Il y a effectivement une enquête en cours du Bureau d’Enquêtes sur les accidents de transports terrestres BEA-TT du ministère des transports terrestres.
Ces enquêtes répondront de façon détaillée aux questions qui se posent sur les causes de cet incident.
La Région Midi-Pyrénées sera très attentive aux résultats de cette enquête.

Cordialement,

L P
Attachée de presse - Région Midi-Pyrénées"

Bonjour.

J'avais pas lu le post de Moly....;toujours aussi intéréssant:merci.

Je viens aussi de lire le dernier post d'Intermodalité : que faut il entendre par "dérive" ?

Et tant que je suis dans les questions,que signifie le tableau ci dessous ?

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Merci à vs.

P.

Un AGC (Z 27577/78) a effectivement dérivé entre AX et Mérens. Après s'être planté, il est reparti en arrière sur pratiquement 300m...
Je n'ai pas eu le fin mot de l'histoire, mais on nous a demandé d'être vigilants sur le niveau de sable des engins. Je demanderai des précisions.

Une dérive c'est un train ou des véhicules qui partent tout seuls.
Exemple de dérive connue sur le réseau ex midi: en mars 1970 sur la ligne du Somport avec les résultats que l'on connait...    
Il y en a eu bien d'autres, il me semble que sur ce forum il existe une dérive sur la ligne des Causses.
Claude

C'est bien une dérive qui eu lieu avec la Z 27577, malgré l'action sur les freins, la rame est repartie en arrière...

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Là, aussi... 

Bonsoir

Ça ressemble à un repère de visibilité à tenir visible depuis un point singulier pour valider la visibilité inverse.
Par exemple depuis un PN ou un passage piéton, ca garantit qu'un automobiliste ou un piéton aperçois au moins un train à ce niveau pour lui éviter de s'engager hasardeusement.

Mais en principe c'est plus jaune...

intermodalite a écrit:Bonsoir

Ça ressemble à un repère de visibilité à tenir visible depuis un point singulier pour valider la visibilité inverse.
Par exemple depuis un PN ou un passage piéton, ca garantit qu'un automobiliste ou un piéton aperçois au moins un train à ce niveau pour lui éviter de s'engager hasardeusement.

Mais en principe c'est plus jaune...

J'y aurais pas pensé....mais il me semble qu'effectivement il y à un passage piéton au niveau du pont métallique, un peu plus loin.

Je me doutais par contre pour "dériver",mais là par contre je pensait que ça n'arrivait plus.... Un ami ancien roulant à connu le malheureux mécanicien de ce fameux jour sur Pau-Canfran.....Quelle histoire....

Merci donc pour ces petites infos,et je vous envoie avec la photo ci-dessous un magnifique soleil....

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Bonne soirée.
P.

Merci de cette photo d'ambiance.

Effectivement il y a bien un portillon piéton qui demande un peu de visibilité même si on est dans une zone ou ça circule à 40 km/h vu l'anticipation de l'aiguille ou son non dégagement au départ.

Pour les AGC et en précision, ils ont été commandé sur un cahier des charges 35 pour mille et ce n'est qu'a titre dérogatoire qu'ils ont ensuite été validés à la demande de Midi-Pyrénées en 40 pour mille (Confirmé par Bombardier). Seule ligne du réseau exploitée en UIC avec un tel profil...

Ces engins ont des freins à disques et donc les boudins ne son pas nettoyés. Cela a demandé un apprentissage des réactions au freinage car au début, ça s'enraillait fort. J'ai un souvenir par temps de pluie avec une grosse frayeur du mécano en glissade à l'entrée de Saverdun. Ca avait valu des entrées à 10 km/h sur signal ouvert dans toutes les gares jusqu'à Toulouse.

En ces temps là dès qu'il pleuvait, de Latour à Ax ils prenaient 20 minutes a cause de ce problème.

Depuis les réactions ont semble t-il été maitrisées par les acquis de compétences liés à l'expérience.

Je n'ai aucune idée de ce qui a occasionné la dérive mais les boudins doivent y être pour quelque chose.

Peut être un plantage avec retour arrière pour se reprendre et au moment de s'arrêter à l'endroit propice, une continuation en glissade. Mais je n'ai aucune précision, il ne s'agit que de supputation.

Sur les TGV je crois que ce phénomène a imposé des sabots en bois pour nettoyer les tables de roulement....Enfin c'est un vague souvenir de discussion. Peut être pourrez vous compléter.

Thank you pour ces précisions.

A bientot.

intermodalite a écrit:Bonsoir

Ça ressemble à un repère de visibilité à tenir visible depuis un point singulier pour valider la visibilité inverse.
Par exemple depuis un PN ou un passage piéton, ca garantit qu'un automobiliste ou un piéton aperçois au moins un train à ce niveau pour lui éviter de s'engager hasardeusement.

Mais en principe c'est plus jaune...

Oui mais est sous vent dominant et la pluie vient de l'ouest; elle l'a delavé...
Ici on est au PN 20 sans barrières à St Felix le Chat Lauragais.

Bonjour,

Je reviens sur cette "histoire" d'adhérence, donc de patinages, enrayages et dérives...

Etant naguère intervenu sur ce forum, de façon assez précise sur ces problèmes, je résumerais en disant, que seul, celui qui ne s'est jamais retrouvé en face d'un coefficient d'accrochage "roue-rail", digne de celui d'une paire de skis dans la neige, peut ignorer de tels moments de "solitude". (En référence à la glissade de la Z 27500).

Matériel, ancien, moderne, dispositifs d'anti-patinage, ou anti-enrayeurs, sophistiqués à souhait, granulométrie particulièrement étudiée du sable...frein direct sur les locomotives, etc...dans certains cas, c'est terrible...La preuve, des études poussées vont être menées pour enquêter sur cette affaire de dérive...en 2014, un peu, comme si on découvrait le problème.
Je ne dis pas que c'est inutile, bien sûr, mais que ce n'est pas (malheureusement) nouveau.

Comme le dit BB 4100, de bonnes sablières sont de nature à améliorer les conditions d'adhérence, mais il peut arrriver que, sous atmosphère très humide, des essais sablage concluants à la sortie du dépôt, ne garantissent en rien le bon fonctionnement souhaité plus tard.
Le sable, humide, alourdi, amalgamé au mauvais endroit, peut faire obstacle à son éjection normale.

Ça me rappelle, et, ce n'est pas d'aujourd'hui. que certains "vieux", au 7824, (départ La Tour, 5 h 15), conseillaient de sabler en descendant, de façon que le collègue du "Parisien", trouve un rail un petit peu plus "abrasif" en montant. (Sauf, si pluie battante qui nettoie tout, mais auquel cas, ce ne sont pas les pires conditions d'adhérence).

Evidemment, je n'ai pas fait avancer le "schmilblic", mais invité peut être chacun à rester très humble, (ce qui est le cas, d'ailleurs..), devant ces problèmes récurrents qui traversent les époques, et les techniques sans réelles évolutions, semble-t-il.

A bientôt !