Pk 243,2 : Gare de Capdenac (12)

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Celle-là, en Franche Comté, il y a un paquet d'amateurs qui la regrettent ...

Merci JL.

En septembre 2004, il y en avait des choses à voir à Capdenac ...

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Elle a son hangar privatif désormais...

Bonjour,
un pano et plein de voitures que je ne sais pas identifier; aux connaisseurs???

Arfff !! Il y a meme eu une 141 R avec un sifflet tres particulier :rigol: : Puis sont partis ..... a si la R roule encore apres remise en etat a la Suisse et en Suise apres un leger souci de maneton , ca pourrait faire un quizz cette image , le pano roule aussi ....
allez aux autres un peu joli Francois ces archives .

jb@+

Bonjour à tous !

Que de souvenirs de la R 568 lors de ces visites dans la cité Gaillarde ! Merci pour ces clichés ! Je me souviens encore de cette étrange sirène à vapeur à la sonorité très américaine qui hurlait sous la marquise ...

En ce qui concerne le matériel garé à Capdenac, on peut voir de gauche à droite:

- X 4206, racheté par l'Agrivap, garé à Giroux,

- fourgon à bagages ex-DR ou DB qui à été en service à la Sncf, vue en gare de Vertolaye (réseau Agrivap, propriété ?) il n'y a pas longtemps,

- voiture lits-salon ex-PLM n°12, racheté par le châtelain de la Ferté-St Aubin, puis par un collectionneur en Seine-Maritime,

- citerne à bogies ex-Sncf,

- voiture métallisée ex-Est de type A3B4Dmyfi,

- Ambulant postal de 26 mètres, peut-être de nos jours à Anduze, propriété de la Citev.

@+,
Benj.

Merci Benj. de ces précisions.
Voici deux autres photos.
Ci-dessous, deux allèges postales. Cherchez l'erreur ! :O_O:

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A propos du pano, JB, je ne crois pas qu'il roule mais qu'il sert de magasin de pièces de rechange pour l'autre. Benj. nous dit d'ailleurs qu'il est garé à Giroux.

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Salut François.
Le Pano était garé en 1986 à St Jean du Gard.
LN/JCP.

Oui JC. Il a circulé sur Anduze-St-Jean-du-Gard.

Agrivap détient aussi le X 4203 qui était au départ préservé pour Mulhouse et qui fût longtemps garé sous la rotonde de Brive-Estavel. Il est garé à l'abris à Ambert et semblait avoir fait l'objet d'un début de restauration ...

benj a écrit:Agrivap détient aussi le X 4203 qui était au départ préservé pour Mulhouse et qui fût longtemps garé sous la rotonde de Brive-Estavel. Il est garé à l'abris à Ambert et semblait avoir fait l'objet d'un début de restauration ...

ce pano a été récupéré et remorqué par Agrivap avec leur pano qui roule occasionnellement sur RFN il y à 5/6 ans à Capdenac (il y à un photo-reportage quelque part sur le net (peut être sur le sire Agrivap) et comme ils en ont 3, il est fort probable qu'un des 3 servira de magasin de pièces. Cela dit, les vernis du cuivre de la transmission électrique sur les 2 qui roulent pas s'abime avec l'umidité et le temps, si je ne m'abuse et un rebobinage doit être hors de prix; pas sur que ça reroule un jour tout ça!!!

Merci Capitole 67 pour ces superbes photos d'époque qui me font très plaisir à regarder étant natif de Cahors.
Et je suis sûr que vous devez avoir aussi des photos avec des ABJ4 qui ont assuré la transition entre les X 5500/5800 et les Picassos au milieu des années 70 sur Cahors-Capdenac.

X 5546 a écrit:Merci Capitole 67 pour ces superbes photos d'époque qui me font très plaisir à regarder étant natif de Cahors.
Et je suis sûr que vous devez avoir aussi des photos avec des ABJ4 qui ont assuré la transition entre les X 5500/5800 et les Picassos au milieu des années 70 sur Cahors-Capdenac.

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Bonsoir,
De ma part, malheureusement pas de photos, mais quelques précisions d'ordre "technique".
Effectivement, les ABJ 4,(X 3600) affectés à Bordeaux, dans les années 72/73,( pour prendre une base), arrivaient jusqu'à Montauban, sur des omnibus, puis, étaient repris par des conducteurs "diesel", (du roulement "rapides-express"), de Toulouse, jusqu'à Cahors, tous les soirs.
Le lendemain matin, ces mêmes agents redescendaient l'autorail 3600, arrivé la veille au soir de Capdenac, et ce jusqu'à Montauban, d'où "l'appareil" refermerait la boucle, en repartant sur Bordeaux.

En stage, je me rappelle des démarrages de Cieurac, le matin, en rampe de 10mm/m... C'était pas mon truc ! Certains copains avaient trouvé rapidement le bon tempo dans la manip des embrayages et boite de vitesses à commande électropneumatique, mais, idem plus tard avec les X 2400, je n'ai jamais eu réellement d'affinités avec cette conduite, (surtout au démarrage). Bref, j'infligeais des secousses aux voyageurs plus souvent qu'ils l'auraient souhaité ! Mais n'ayant pas eu l'occasion de rester très longtemps sur ces autorails, et de peut être me perfectionner, je peux humblement avouer que je n'ai, jamais, vraiment su maîtriser leur conduite !
A bientôt !

Merci pour ces précisions techniques.
Effectivement outre Cahors-Capdenac il y avait un mouvement en ABJ4 Montauban-Cahors de soirée 19h37/20h31 qui devait repartir le lendemain matin de Cahors vers Montauban 6H10/6h59.
Sinon avez vous conduit les Picassos sur Cahors-Capdenac?
cordialement

Bonsoir,
Bien que ma vie professionnelle et surtout personnelle n' intéresse pas grand monde,(ce qui est normal), j' y fais référence pour illustrer et témoigner d'une époque.
Ceci étant, pour répondre à la question, je n'ai pas circulé sur Cahors-Capdenac autrement qu'en voyageur,(notamment en 1969).

Quant aux "picasso" et X 2400, je fus autorisé à leur conduite, lorsque, sur ma demande, pour raisons personnelles, je suis resté conducteur de 1977 à 1979 à Poitiers, où nous utilisions les premiers sur Parthenay,(Deux Sèvres), et les seconds sur Limoges.
Début 1980, je redevins Toulousain, et malgré quelques vélléités de retour au Pays, ne fus jamais tractionnaire à Capdenac.
A bientôt !

(Re)-Bonsoir,
Concernant les "Picasso", (à contrario des autorails X 3600, 2400, 2701 à 20, etc, qui demandaient doigté et habitude), leur conduite, à l'instar de leur équipement, était simple. (en gros, comme un camion d'époque).
Je me souviens que nous démarrions en 2°,(sans remorque), et que, l'oeil sur le compte-tours pour les débutants, ou l' oreille pour les habitués, étaient suffisamment fiables, pour passer les vitesses, sans utiliser la pédale d'embrayage, (et sans faire craquer la boîte). Si non, le double débrayage, et le double pédalage étaient requis.
Aujourd'hui pour les conducteurs de TER, un retour sur ce type de matériel, correspondrait, à quelque chose près, et toute proportion gardée à un retour à la vapeur pour nous, à l'époque, non ?
A bientôt!

Bonjour moly eh bien pour ma part je trouve très intéressant les sujets que tu nous évoques dans le détail car çà nous met dans l'ambiance que nous n'avons pu connaître et j'apprécie tes précisions techniques :tchou:

Bonjour,
Merci d'apprécier mes petits souvenirs, reflets le plus souvent de vos belles et émouvantes photos. Pour ne rien vous cacher, je prends plaisir à me remémorer mes débuts au chemin de fer, où ,subsistaient encore d'anciens matériels côtoyant les nouveaux. En revanche, à titre personnel, je n'ai rien fait d'extraordinaire que d'anciens tractionnaires qui lisent ou participent au forum, ne pourraient, eux aussi, relater ! (Que les choses soient claires, il ne s'agit pas de me mettre en avant).
Malgré un trafic soutenu, déjà les plus vieux nous faisaient remarquer que les dessertes marchandises (omnibus), avaient fondu comme neige au soleil. Et tout n'était pas forcément mieux qu'aujourd'hui, (vaste débat).

Pour ne pas m'éloigner du sujet, certains ,et bien sûr l'auteur des photos en gare de "Capde", se rappellent certainement du concert de diesels qui résonnaient bruyamment,sous l'auditorium que constituait la marquise, lors de ces correspondances. Il y avait du décibel ! Et selon la météo du jour, les volutes de fumées bleutées retombaient sur les quais, sans que cela ne soulève la moindre réprobation : C'était naturel, à défaut d'être écologique.

Comme il a été précisé plus haut, un ballet de manoeuvres se mettait en branle ,afin de sauvegarder, via les remorques qui passaient d'un train à l'autre, des liaisons directes depuis ou vers Toulouse. Les échappements d'air, peu discrets des essais de freins indiquaient aux habitués un départ imminent, et, en quelques minutes, un silence impressionnant retombait sous la marquise, après les coups d'accélérateur nerveux du "MGO" des 2800 qui s'éloignaient.
Dommage que ces photos souvenirs ne soient pas sonorisées. On n'en a jamais assez ! !
A bientôt !

Oui, en effet, des vidéos sonorisées de l'époque seraient un "must"!
Mais c'est déjà très bien avec ces belles photos qui remémorent bien des souvenirs.
La photo du Picasso prise en juillet 1977 me confirme que les X3800 ont été mis en service sur Cahors-Capdenac au printemps 1977, il me semble vers le mois de mars (en fait je ne me rappelais pas si c'était en 77 ou 78).
Les Picassos ont succédé aux ABJ 4 et ont roulé sur cette ligne jusqu'à la fermeture fin septembre 1980.
Pour les ABJ 4 je pense qu'ils ont dû être mis en service sur C-Capdenac en 1973?
à confirmer...

Bonjour effectivement les U 150 ont quitté la scène le 6 août 1973 sur l'antenne Viviez Décazeville et de Capdenac au service d'hiver de la même année (vraisemblablement) pour être remplacés par les ABJ 4 de Bordeaux.

Merci pour cette confirmation.
Par contre savez vous en quelle année sont arrivés les U150 sur C-Capdenac lorsque ceux-ci ont pris la relève des FNC?
Merci

Merci pour ces photos historiques, que les commentaires avisés de Moly illustrent et donnent un aperçu du vécu des tractionnaires! Capdenac est pour moi la gare dans laquelle mon grand-père a débuté au PO en 1910!

J'ai trouvé cette photo sur le site des anciens élèves du Lycée Berthelot ( qu'ils en soient remerciés ), avec une mine d'autres documents intéressants :


http://berthelot31.fr/photos-de-cartes-postales-anciennes-de-gares-sncf/



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Très beau document ! Merci.

La machine que l'on voit au premier plan semble être une Pacific série 4500 PO. Au départ, je pensais que c'était la 5801 ou 5802, futur 4-141 A 801 et 802, les deux seules mikado à tender séparé de construction française que la compagnie du PO ait possédé...

@+,
Benj.