Reportage Photos (1982) : Accompagnement sur la Ligne Boussens - St Girons

Bonjour à tous, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Je ne vais pas retracer tout l'historique de cette ligne construite pour rejoindre l'Espagne se serait trop long ,suite a ce post https://www.trainsdumidi.com/rubrique-mystere-les-quizz-f22/gare-mystere-resolu-t4306.htm
Voici quelques images d'un accompagnement que j'ai pu faire entre Boussens et St Girons en 1982 avec un train de desserte.
Ca sentait déjà la fin, il n'y avait plus le trafic principal de bois pour la papeterie de Ledart
( les wagons de bois à essieux ou bogies étaient transportés par route de la gare a l'usine en traversant le centre ville ), il restait un peu de trafic, pieces agricole , tracteurs, ect ect..
Dans toutes les gares des rames des vagons vides occupaient les voies par manque de trafic.

Gare de Boussens notre convoi de deux vagons dont un pour Mazeres .
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C'est parti , la grande ligne puis le mât indiquant le ralent pour franchir la  jonction du Fourc .[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Nous y voici une TJS et le poste T, ce tiroir maintenant sert-il toujours pour les manœuvres de l'usine pétrochimique ?
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Ca y est nous voilà sur les rails DC menant a St Girons , pas mal d'herbe .[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Autre vue sjmsb halte de His,Mane,Touille . je fais tout de mémoire je peux me planter ca ou la .[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

On approche de Mazeres un joli petit PN
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on rencontre les rames vides garées ici ou la .[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Puis la halle marchandises de Salies du Salat .[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

On continu a 30 klh notre parcours, on approche du terminus, PN de St Lizier .[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Nous y voici St. Girons et la belle marquise avec son lot de vagons garès. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Autre vue du convoi, on va manœuvrer tout ca pour reprendre le debach'vit et le laisser a Mazeres.[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Formation du train de retour c'est celui-ci a qui on donnera le départ plus tard d'où le quizz .[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Allez après trois heures de passées on repart vers Boussens sous un ciel gris, le PN de St Lizier et la queue automobile .[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Puis arrêt a Salies du Salat (pause-café ).[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Allez hop on repart et desserte de Mazeres ,le debach'vit est chargé, bonjour avec l'herbe et la rampe .[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Autre vue de l'ep .on reforme la rame.[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Plus d'arrêt jusqu'a Boussens on roule, puis apparait l'avertissement de Boussens .[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Puis le carré fermé était présenté.[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Puis Boussens de nouveau et fin du voyage puis fin de la ligne peu de temps après .[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]


Voila quelques souvenirs de cette ligne , gamin j'allais souvent a Seix passer les vacances en famille , je me souviens des autorails rouge et creme a Boussens (fnc) qui donnaient correpondance , puis depuis Toulouse direct avec les X 2800 et souvent deux XR ,plus grand j'ai parcouru x fois la "route aux tunnels" de la ligne inachevée de Lerida ,il reste pas mal d'infra egalement de la ligne de Foix , PN, gares , viaduc de Vernajoul , a St Girons existait un quai d'echange du train Metrique electrifié qui venait de Castillon (mines de fer) la aussi pas mal de vestiges encore péresents , ponts , pn ,gares , et meme..... sur certaines facades de maisons il subsiste(ait) quelques isolateurs de la ligne .

voila en esperant que ca vous a plu de ressortir ces souvenirs ce sont des dias monture carton d'ou la poussiere parfois [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image].

jb@+

Bonsoir a tous;

Merci de vos coms , un peu d'histoire est necessaire pour bien comprendre la traversée des Pyrenées ,certains projets seront realisés , d'autres non , de nos jours l'echange entre les deux pays reste inchangé cause ecartement , on voit apparaitre un troisieme rail ou meme de la voie normale .Du cote Espagne la ligne arrive a la Pobla de Segur , exploitée Renfe puis FGC (la seule a voie large) ligne refaite a neuf (rvb) de 2005 a 2007 . le tunnel de Salau ne sera jamais construit .

1853 - 1904 : un demi-siècle d'incertitudes

En 1853, diverses voix s'élevèrent en Aragon pour réclamer une voie ferrée entre l'Espagne et la France à travers les Pyrénées centrales. Mais, la France était plus intéressée par d'autres liaisons internationales : la voie côtière par Hendaye et Irun, par exemple, qui sera achevée en 1864.

A la fin de 1864, le gouvernement de Madrid envoya en France une commission d'ingénieurs pour étudier la question du tracé des liaisons transpyrénéennes. Le 27 mars 1865, le ministre des Travaux Publics créa le " Service spécial d'étude des chemins de fer pyrénéens ". Les premières études établirent un large éventail de tracés possibles.

La guerre de 1870 vint interrompre les études et ce n'est qu'en mars 1875 que les Espagnols prirent l'initiative de rouvrir les discussions. Sans grand succès… L'attitude de la France ne devait changer qu'en 1878. Mais cette fois, c'est le gouvernement de Madrid qui se récusa en constatant que la France n'était intéressée par la question des transpyrénéens que pour la création d'une relation entre Paris et l'Afrique par Carthagène.

Pourtant, au pied des Pyrénées, la question passionnait les collectivités locales et particulièrement les conseils généraux des Basses-Pyrénées, des Hautes-Pyrénées, de la Haute-Garonne et de l'Ariège.

Dans les Basses-Pyrénées, la question du tracé divisait le conseil général. Deux projets étaient possibles : Oloron - Jaca par le Somport ou Mauléon - Roncal - Jaca par le port de Larrau. Ce dernier tracé était bien moins coûteux et plus facile à réaliser : un tunnel international beaucoup plus court et pas de tunnel hélicoïdal. Mais, la ligne du Somport soutenu par Félix Larricq conseiller général d'Accous, l'emporta d'une voix le 24 août 1878.

Finalement, sur le plan international, les deux pays reprirent leurs discussions en créant une commission internationale avec à sa tête les ingénieurs Decomble et Page. Cette commission proposa une douzaine d'itinéraires :

- de Saint-Étienne-de-Baïgorry à Pampelune, par les Aldudes,
- de Mauléon à Roncal par le Port de Larrau ou celui d'Urdayte,
- d'Oloron à Jaca par le Somport,
- de Lourdes à Lérida par Luz et Gavarnie,
- de Lannemezan à Lérida par les vallées d'Aure et de la Cinca,
- de Luchon à Lérida par Benasque,
- de Montréjeau à Lérida par le val d'Aran,
- d'Ax-les-Thermes à Ripoll par le Puymorens et la Cerdagne,
- de Prades à Puigcerda par le col de la Perche et la Cerdagne.

Pour le tracé du Somport, la commission détermina en juillet 1880 la position du tunnel et des deux gares internationales à établir de part et d'autre. L'altitude du tunnel était d'environ 1200 mètres, et sa longueur de 8 kilomètres. La ligne de Huesca à Canfranc était déclarée d'utilité publique en Espagne le 14 octobre 1880.

Decomble n'était pas favorable au tracé du Somport. Ce chemin, disait-il dans un rapport de 1881, " ne donnerait aucun bénéfice réel entre Paris ou Pau et Madrid, car si l'on trouve en plan 55 kilomètres de moins sur la piste du Somport que sur celle du chemin du Nord de l'Espagne (passage côtier d'Hendaye), on vérifie bien vite que les difficultés de traction feraient plus que supprimer dans la pratique l'avantage de ce raccourcissement." Decomble préfèrait un tracé par Roncal. Il conclut son rapport en recommandant la construction de deux Transpyrénéens :

" 1° - L'exécution dans le plus bref délai possible du chemin de fer de Paris à Oran par Saint-Girons et Lérida ;

" 2°- L'exécution du chemin de fer de Paris à Madrid par Mauléon et Roncal, avec embranchement d'Oloron à Tardets par la vallée du Vert et de Salvatierra à Huesca et Saragosse par Baïlo. "

En 1881, les travaux de construction du tronçon Pau - Oloron-Sainte-Marie débutèrent. Ils s'achèveront en 1883. Ces travaux faisaient parti du plan Freycinet, vaste projet d'équipement visant à moderniser le pays et à désenclaver les régions mal desservies par la construction de 9.000 km de lignes nouvelles.

La commission se réunit une nouvelle fois à Paris en 1884 sans parvenir à se mettre d'accord sur le choix des tracés.
L'Espagne tenait beaucoup au projet de Canfranc. Aux yeux du gouvernement espagnol, la ligne Madrid-Saragosse-Jaca-Oloron-Pau était le seul Transpyrénéen indispensable. Au centre de la chaîne, il était une voie assurée à travers l'Aragon province fidèle à Madrid et au roi d'Espagne, loin de l'agitation carliste de Burgos et San Sébastien et du catalanisme de Barcelone. D'ailleurs, le tronçon Huesca-Jaca sera construit assez rapidement et livré à l'exploitation en 1893.

La France n'avait pas les mêmes intérêts et défendait d'autres tracés notamment pour rejoindre ses colonies d'Afrique du Nord : Paris-Cadix, Paris-Carthagène. C'est pourquoi la France proposait deux autres lignes :
- la voie de Mauléon à Roncal,
- la ligne, Paris-Toulouse-Saint-Girons-Lèrida à laquelle l'Espagne n'était pas favorable car elle traversait une région pauvre et peu peuplée.

Finalement, le 13 février 1885, les deux gouvernements finirent par signer à Madrid une convention prévoyant la construction de deux liaisons transpyrénéennes : Oloron - Canfranc - Zuera et Saint-Girons - Lérida.
Après la signature de cette convention, les études techniques sur le Transpyrénéen occidental reprirent dès juillet 1885 du côté espagnol. Une commission de topographes et enquêteurs fut créée. L'ingénieur espagnol Joaquín Bellido proposa de percer un tunnel international, long de 17 km, entre Urdos et Villanúa. Le 26 mai 1887, lors d'une réunion à Pau, la commission se divisa sur la question de l'altitude du tunnel du Somport. L'Etat-Major espagnol trouvait que ce tunnel était situé trop bas et débouchait trop loin de la frontière. Le souvenir des invasions napoléoniennes de 1814 était encore récent. A ce problème se rajoutèrent des désaccords entre les deux pays sur des cartographies encore approximatives. De longs pourparlers suivirent, plus ou moins actifs selon les vicissitudes de la politique intérieure des deux pays.

En 1893, la Chambre des Députés adopta le projet de loi ayant pour objet de déclarer d'utilité publique l'établissement d'un chemin de fer d'Oloron à Bedous. Les négociations reprennent avec la création d'une nouvelle commission internationale à l'initiative de l'Espagne pour étudier les modalités de construction des deux lignes suivant la convention de 1885.
En avril 1894, au cours d'une réunion de la commission, les Français décidèrent de n'entreprendre aucun travaux tant que l'Espagne ne commencerait pas à construire la ligne Noguera-Pallarersa voie d'accès au futur Transpyrénéen central.

Il faut attendre 1896 pour que le dossier du Transpyrénéen soit tiré de la poussière des cartons par Louis Barthou, député d'Oloron et Ministre des Travaux publics.

Du côté de l'Ariège le projet de la ligne de Saint-Girons à Lérida n'avait guère plus avancé. Pourtant ce tracé était géographiquement le plus central et il était défendu par la chambre de commerce de Toulouse. Mais, des vues différentes devaient prévaloir. Une commission d'ingénieurs proposa un troisième tracé, celui d'Ax-les-Thermes à Ripoll nécessitant deux grands tunnels et permettant de relier Toulouse à Barcelone. Il trouva un grand soutien en la personne de Théophile Delcassé ministre des Affaires étrangères et député de Foix, ville traversée par ce Transpyrénéen.

Louis Barthou et Théophile Delcassé, le Béarnais et l'Ariégeois, tous deux radicaux, furent des fervents promoteurs des liaisons transpyrénéennes.

C'est pourquoi le traité de 1904 donna la priorité à ce dernier tracé et à celui du Somport. Le 18 août, l'ambassadeur d'Espagne et Théophile Delcassé, alors ministre des affaires étrangères, signèrent une convention internationale prévoyant la construction, dans un délai de dix années, de trois transpyrénéens :

- le Transpyrénéen Oriental, Ax-les-Thermes (Ariège) - Ripoll

- le Transpyrénéen Central, Saint-Girons (Ariège) - Lérida par le col de Salau

- le Transpyrénéen Occidental, Oloron (Basses-Pyrénées ) - Zuéra par le Somport

La ligne Saint-Girons - Lérida ne sera jamais terminée , il reste encore des vestiges , la plateforme , les tunnels , pn, ponts tranformé en route , cette ligne se serait reliée a la ligne de Foix presque a la sortie de St Girons, on vois encore tres bien l'infra ,pn, le pont cage traversant le Salat a eté remplace par un routier bien plus large .

jb@+

2D2_5300 a écrit:Bravo et encore merci !!!!! Aurais tu une vue des voies de Salies car j'aimerais voir le quai de chargement des wagons qui transportaient le sel

Bonjour a tous;
helas non bien sur [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] alors que j'y suis allé x fois, c'est toujours pareil pour beaucoup d'entre nous apres on regrette , je complete avec la gare de St.Girons en 2007 ca a peut etre changé depuis . Coté quais un vaste parking remplace les voies.

Coté quais .
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Plaque altitude .
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Coté quais  en 2007 , depuis ca encore changé avec une construction.
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jb@+

Bonjour a tous;

J'ai retrouvé cette page de la "Depeche du Midi" relatant la fermeture aux voyageurs . En deux images vu la taille.

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jb@+

La pauvre ligne de St-Girons s'efface complètement du paysage.
Il restait encore quelques centaines de mètres en amorce à BOUSSENS.
Ils viennent d'être déposés à leur tour ...

Ci-dessous en février 2010.
Carré fermé ... tout un symbole.

SF

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L'aiguille et la TJS qui donnaient accès à ce qu'il restait de la ligne ont été déposées courant janvier.

Un guidon qui n'arrêtera plus grand chose ...

SF

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Il y a quinze jours, ils étaient toujours en place ...

En février 2010, à BOUSSENS, l'amorce de la ligne de St-Girons pouvait encore faire illusion ...

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Une petite vignette trouvée sur le net...

Bon, il y a toujours cette fameuse mystérieuse et célèbre photo à Salies....
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Bonjour a tous,

Ollalaaa tes images JP c'est collector  :bravo: , je rajoute un vieux carton de St. Girons sans date   , au premier plan le pont cage traversant le Salat avec  la ligne de Foix et celle du transpyrenéen s'il avait eté construit peu avant la séparation des lignes, les connaisseurs confirmeront on dirait que la marquise de la gare etait pas encore construite  :scratch: domage que l'on puisse pas faire les images en 1000 x par exp.

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jb@+

Bonjour a tous;

Petite relique souvenir   Ce post devient une encyclopédie grand merci a tous  :rigol:

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jb@+

Une photo ancienne (Col. G.Lapasset)

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Si le Livret de Marche des Trains, que je possède dit vrai, il y aurait eu un tunnel sur la droite de cette vue, avant le pont cage...
Mais rien de sûr car à part ce document, je ne sais rien de plus...

Bonsoir , encore une relique des vestiges du musée de la gare de St. Girons pris en photo il y a quelques années , depuis une bonne partie est partie à l'association de Tarascon sur Ariège !
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Domage que le musée n'a pas survécu dans l'ancienne gare ! :!:
A se propos , quelqu'un aurait il des photos de la gare avec le musée en état à l'époque oû il était ouvert , merci d'avance !

Bonjour,



Depuis quand la ligne Boussens - St-Girons est totalement déferrée ?

Aout 1996, de St Girons au Fourc et l'année dernière pour les quelques centaines de mètres qui servait de tiroir de manœuvre ..

Bonjour,
A titre documentaire,et très modestement, après la très haute qualité des interventions précédentes,(historique,reportage photos...),j'ai retrouvé une composition du train 25801,du 18/02/1981 : 66052+350t au départ de Boussens vers St Girons. Le retour en 25800,est arrivé à St Jory avec 842t,(après manoeuvres et prise de véhicules à Boussens).
A bientôt !

Camilo a écrit:Bon, il y a toujours cette fameuse mystérieuse et célèbre photo à Salies....
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Elle n'est pas mystérieuse, elle m'appartient, c'est une photo faite par mon père en 1957 et qui a paru dans l'ouvrage X2800 avec d'autres photos perso!
Attention à l'utilisation de photos sans autorisation du propriétaire, cela a couté très cher aux éditions Atlas. [img][Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image][/img]

C'est grâce à cette photo sur ce site que j'ai commencé à retrouver ta trace Jean Louis....

intermodalite a écrit:C'est grâce à cette photo sur ce site que j'ai commencé à retrouver ta trace Jean Louis....

Hé oui Robert cela fait plaisir!

Bonsoir Tosque,

Je n'ai pas mis la photo dans un quelconque but de voler des droits d'auteur ou quoi que ce soit, mais plutôt parce que je l'avais dans mon disque dur et que je ne connaissais pas son auteur. Je pense que la meilleure façon de retrouver l'origine d'une photo est de la diffuser sur ce forum (au public restreint toutefois) et, preuve en est faite ici même, cela a marché vu que tu as identifié ton père comme l'auteur de cette photo.
En tout cas, superbe photo !

Camilo a écrit:Bonsoir Tosque,

Je n'ai pas mis la photo dans un quelconque but de voler des droits d'auteur ou quoi que ce soit, mais plutôt parce que je l'avais dans mon disque dur et que je ne connaissais pas son auteur. Je pense que la meilleure façon de retrouver l'origine d'une photo est de la diffuser sur ce forum (au public restreint toutefois) et, preuve en est faite ici même, cela a marché vu que tu as identifié ton père comme l'auteur de cette photo.
En tout cas, superbe photo !

Pas de souci, je sais que ce n'était pas le but! Mais cela est arrivé à des collègues, et une fameuse photo de la TD 740 avait servi de support à une série de publications sans l'autorisation de l'auteur!

http://patrimoine-seixois.fr/le-rail-en-couserans-une-oeuvre-inachevee-un-reve-brise/

On remarque une photo de mon voisin substituée de notre forum....

... et des erreurs tel que le viaduc de Vernajoul sur Foix - Puigcerda!

Malheureusement l'article n'est pas signé.
Mais j'essaierai de connaitre son origine

Bonjour,

Et même la carte reproduite depuis mon site :
http://patrimoine-seixois.fr/wp-content/uploads/2014/12/34-Boussens-St-Girons-281x300.jpg

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Article signé : Brigitte Gaston-Lagorre