Pk 135,5 : Gare d'Agen (47)

Autre train

Avec la BB-9269 béton à traverse de tête renforcée


Et la 9324


Ca sera tout pour ce matin. D'autres suivront, avec d'autres séries

Laurent

Bonjour!

De la diversité dans le matériel, en argentique de qualité.

Bien joli tout çà

Merci Laurent.

@ + Alain.

et c'était seulement il y a 20 ans
mais merci pour ces clichés

Je suis encore tombé de ma chaise de bon matin !

Merci beaucoup pour ces clichés superbes ! AVec des allèges en plus !!!

oui en effet c'etait la bonne époque .

jb@+

Belles images bien collector, encore et merci!

... Une CC6500 livrée "Maurienne", une CC6500 livrée "Arzens" et bien sur, une BB9200 & une BB9300 livrée "Béton" ... (sans compter la composition .... ) Que demander de mieux ?? ça, c'était du vrai spotte !!!
Bref, pleins regrets de n'avoir jamais connu cette fabuleuse époque .... En tout cas, bravo pour vos clichés, ils valent de l'or maintenant !!!

Bonjour,

Merci à tous pour vos commentaires.

La suite bientôt, quand le serveur d'images aura repris un fonctionnement normal...

Laurent

Laurent, comme hébergeur, utilise servimg et la méthode suivante. C'est la seule manière qui permette une bonne fluidité au forum.
https://www.trainsdumidi.com/t6270-comment-publier-une-photo-sur-le-forum

Salut Laurent,

Merci beaucoup pour ces clichés qui rappellent une époque maintenant révolue, époque où l'on pouvait voir de la diversité...

A+Mikael

[quote="sud313"]Bonjour,

Je crois bien qu'Henri a raison. Pour la relation demandée, je n'ai pas (hélas), la période correspondante. Néanmoins je vous propose cet extrait du livret RA pour la période 71-72.

Bonjour,

Retour en arrière sur la fourniture de la compo du 4421, par "Sud313", que je remercie. (ainsi que tous les contributeurs pas avares de partages).

Je viens de retrouver sur de vieux agendas, la traction d'un 4421, entre Limoges et Toulouse, le 30/03/1976.
Cette période de renouvellement de voie entre Limoges et Périgueux, voyait la rame "Agen", être détournée par Brive.

Conséquences, ce train descendait donc depuis Paris dans la même composition, (à un ou deux véhicules près), jusqu'à Brive.

J'avais donc noté: 4421, CC 7118, avec 23 véhicules/846 t. jusqu'à Brive, puis 11 véhicules/349 t. par la suite vers Toulouse.
Je n'avais pas du m'endormir, dans les rampes jusqu'à Brive, car avec ces tonnages, et l'humidité des petites heures de la nuit, l'entrée des courbes pouvaient facilement porter un coup fatal à l'adhérence du couple roue-rail.
Mais sur ce coup, je ne me souviens pas avoir eu de réelles difficultés de traction, peut être avoir été vigilant, tout au plus.

A bientôt !

Bonjour,

@Olimac : J'avais respecté la procédure, mais le serveur n'a pas apprécié le gros fichier que je lui ai envoyé. Incident clos.

Je poursuis avec un départ en retraite et la traditionnelle pose de pétard sur la voie à l'arrivée du dernier train.

J'ai déclenché au bon moment (et à distance réglementaire fixée par les agents SNCF )


Dans la fumée...



A côté, un train d'essences des armées


Laurent

Des variantes dans les citernes

ça fait plaisir de voir que 20 ans après ce train circule encore avec des citernes identiques !

Enfin plaisir....C'est plutôt Peur de voir des wagons âgés d'un demi siècle et c'est pareil pour le parc gaz:

http://www.intermodalite.com/uploads/articles/a2_42b7f1f7634c17395216a5c2fa3115d5_1.pdf

http://www.intermodalite.com/uploads/articles/a3_ad998c6acc282156fc40d8e6720adfe9_1.pdf

La prise de conscience vient d'être prise après plus de 6 ans de mise en garde et donc 6 ans de plus pour ces parcs.

Surtout que toutes ces matières dangereuses transitent par les centre-ville...

Enfin n'oublions pas que les poids lourds transitent aussi par les villes

Bonjour à tout le monde,
J'ai été "remplaçant" à Agen de 1980 à 1988 donc j'ai encore pas mal de souvenirs de mon "jeune temps".
Au début des années 80, il y avait encore 11 conducteurs de lignes (l'effectif total est monté jusqu'à 18 conducteurs Diesel dans les années 70) plus trois conducteurs de manoeuvre en résidence au dépôt d'Agen. C'était les bordelais qui assurions les remplacements. Il y avait des tournées sur Fumel, Villeneuve sur lot/Ste Livrade, Toulouse Matabiau, Bordeaux St Jean, Condom (Mézin et Mouchan), Auch via Fleurance, Auch via Colommiers (dont la desserte d'AZF ).
La photo du X 2800 arrivant en gare d'Agen sur les éclatements de pétards représente le départ en retraite de "Nounours", le dernier conducteur d'Agen.
Pour le 4422 : Jamais eu de 67300 de Bordeaux sur ce train. Il a toujours été le fief des engins de Limoges d'abord des 68000 puis des 67600 (sans fourgon chaudière) avec, de tout temps des conducteurs de Périgueux (ils faisaient 4422 Agen-Limoges + 4423 Limoges-Périgueux )
Pour Camilo la compo en 1987 :
- tête au départ d'Agen : 67600 + Bc10ux + Ac9ux + A4B5 UIC + B10 DEV + B5D UIC + PE (jaune chassis court) [j'ai les numéros des "bagnoles" si tu les veux]
- les dimanches soir tu rajoutes en tête ; 2B10 + 3 Bc10 DEV ou/et Corail + Ac4Bc5x UIC et tu enlèves en queue le PE !
Bon dimanche.
André T.

faire peter des petards à coté d'un train d'essence.....

Bonjour André,

Merci ! Je t'envoie un courriel d'ici peu.

67600 = serie 67400

Pour les pétards à côté des wagons à essence, c'est bien ce que je pensais aussi mais vu que les normes d'utilisation ne spécifient pas cette situation, j'en ai conclu que ce dispositif qui est un outil règlementaire devait être sécurisé. Mais trop de précaution n'aurait pas nuit. Encore fallait il savoir qu'un convoi d'essence allait s'immobiliser sur la voie contiguë a ce moment là. C'est toujours ce multiplicateur de risques qui est souvent déclenchant.

Pour les poids lourds RTMD qui traversent les villes, c'est de plus en plus rare car il s'agit de dessertes locales et jamais en transit lorsqu'un itinéraire de contournement existe. De plus un poids lourd c'est un demi wagon. Donc un train c'est le cumul de plus de 40 camions pour un train complet et en lotissement c'est aussi parfois deux wagons de produits incompatibles dans le même convoi...Et là c'est multiplicateur. Une photo antérieure montrait une rame moitié gaz liquide et pour moitié pétrole. A noter que vide et non dégazé, c'est tout aussi dangereux et plus explosif..

Bonjour,

Un brave Y-8400 assurait le service des manoeuvres.

Ici, avec une voiture couchettes Corail, avec le logo JO d'Albertville



Ou avec une rame de wagons de marchandises



Voilà ses numérotation, fonction et livrée actuelles : LOCMA 002 aux ateliers de Quatre-Mares, en bleu (Sotteville en possède un autre, gris)


Laurent

Bonjour,

Facultatif 847524 Agen (18h40) - Hourcade (20h28), dont la fiche train a été abondamment corrigée



Hasard (?) la loco est la 9524

La cabine

Bravo ! ça envoie !

Bonjour,

     Merci Laurent de tes vues de la cabine d'une 9400, prises sous des angles inhabituels, donc originaux.

     Visiblement, c'était prêt au départ, pantos levés, robinet de frein H7a sur marche, pression 5 bars, inverseur sur "Avant"...

     Petit retour historique...En  1980, lors de l'électrification de Montauban-Bordeaux, seules les 9200/9300 pour les Voyageurs et quelques messageries, ainsi que les 9400, pour les messageries/marchandises circulaient le long de la Garonne.

     Les roulements "agents" étaient provisoirement et exclusivement ciblés sur cette ligne, et ces 2 types d'engins.

     Au bout d'une grosse année, (?), ces tournées furent fondues dans le roulement électrique.

     La raison de cette situation transitoire en était essentiellement le fait que les formations diesel/électrique, études d'engins, et de lignes étaient trop lourdes pour être absorbées sans douleur dans un laps de temps réduit, avec des effectifs constants.

     Qui plus est, en matière d'apprentissage, il est toujours malvenu d'engager une formation (ligne, ou machine), sans mise en pratique  immédiate. Cette réserve limitait les formations trop anticipées.

      Certains doivent se rappeler de ces roulements exclusifs sur Bordeaux, qui étaient "durs" !

        A bientôt !

Bonjour,

Merci Michel pour tes précisions toujours aussi intéressantes. On est effectivement pas loin du départ. 

Le jour même et la veille, le train partant immédiatement devant. Vraisemblablement un omnibus pour Bordeaux, qui stationnait 15 ou 20 mn, le temps de se faire dépasser par un TGV (post suivant)

Z-7305 en livrée Midi-Pyrénées


Z-7335 en livrée Aquitaine